A l’occasion de l’élaboration de ce site, j’ai relu les articles de presse qui ont accompagné ma vie musicale. J’ai été profondément émue par les mots que tant de journalistes ont su trouver pour décrire mon travail. Je veux leur dire aujourd’hui ma gratitude pour m’avoir ainsi soutenue, encouragée, entourée au long d’une vie, au long d’un parcours parfois périlleux.
Tamia
PRESSE PAR PAYS
Lorsque le nom du journaliste n’est pas cité, c’est qu’il n’apparaît pas dans l’article.
FRANCE
Charlie Hebdo, 1972
"Une chanteuse du genre sublime à voir chanter et à entendre." D.D.T
Jazz Magazine, 1972
"Élément d'un univers sans clôture, la voix de Tamia marque l'instant suspendu de ce concert" - [Festival de Châteauvallon avec Michel Portal], Francis Marmande
Une du journal Le Monde, 1974
"Le miracle est que ces choses de rien envahissent entièrement le spectateur et le retiennent comme suspendu à la certitude d'une perfection" (A propos de « Rorschach »). Michel Cournot
Le Quotidien de Paris, 1976
"Imagination, esprit créateur à l'état brut, mélange habile de cultures lointaines et de vérités fondamentales appartenant à tous pays, ce que nous voyons est d'une puissante originalité. Quel beau travail de création et quelle maîtrise d'un moyen d'expression hors du commun!". Gérard Manonni
Le Monde, 1978
"Son travail vocal unique et qu'elle a tant développé, d'ateliers en cours, ce travail tient d'abord dans une gageure et une audace : quand l'expérience des limites se noue dans l'échange." Francis Marmande
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Le Monde de la musique, 1979
"L'invitation au mystère, le chant secret des rêves." Pascal Anquetil
Le Monde de la Musique 1982
"De l'esthétique au sens plein: fabriquée dans la joie du corps et de l'esprit, forçant le corps et l'esprit à une écoute pacifiée. La voix de Tamia est démesurée. Je n'ai plus de verbes. Je suis traversé." Denis Levaillant
La Croix, 1984
"Face à cette voix qui semble venue d’ailleurs, à cette gestuelle intériorisée, ritualisée, somnambulique à force de concentration, on évoque ce mot de Bachelard : "Tu crois rêver, et tu te souviens". (à propos du duo avec Yano). Andrée Penot
Télérama, 1988
"De la nuit... le jour" donne à entendre quelque chose de littéralement inouï". Michel Contat
Actuel, 1988
"Attention ! Ce disque est un conte de fées pour adultes. Il était une fois une voix inclassable, celle de Tamia, chanteuse hors du temps, belle... et française". S.A.
Le Monde, 1988
"Mélange de peaux et de vibrations, le duo de Tamia et Pierre Favre, voix et percussions, ne ressemble à aucune autre musique, sans en exclure pourtant aucune : ni les techniques classiques, ni les acquis des expressions ethniques, ni la maîtrise la mieux réglée, ni le vertige de l'improvisation. Une expérience poétique menée à deux pour le seul rêve de la beauté et de la connaissance". Francis Marmande - Les meilleurs disques de l'année
Les Lettres françaises, 1992
"C'est un envahissement ténu, une quête essentielle et sans objet à laquelle on est convié. Une voix liquide et lente, des rythmes sous-jacents, comme les vagues de ce liquide, on est au coeur de l'orage immobile." M.T
Classica, 1999
"Voyage à travers une succession d'atmosphères aussi diverses qu'envoûtantes." David Sanson
Jazz Magazine, 2000
"Volontiers hiératique, cette musique aux progressions majestueuses se veut un pont entre les mondes et s'écoute comme une incantation aux éléments de l'ancienne alchimie (terre, air, eau, feu)." Christian Béthune
Médiapart, 2016
"Les voix de Tamia sont les perles d'un collier qu'un fil relie magiquement d'île en île." Jean-Jacques Birgé
JAPON
Asahi, 1990
Festival de musique contemporaine de Tokyo, 1990. Direction artistique Toru Takemitsu. "Avec le duo Tamia – Pierre Favre j’ai vécu une merveilleuse expérience. Une voix qui ne vient pas seulement du chant classique mais aussi du jazz et des musiques ethniques. Cette voix n’est pas limitée à un style, ses couleurs s’étendent de l’aigu le plus pur aux graves les plus profonds auxquels s’ajoutent les sons de la technique Enka (technique de chant japonaise). Elle semble évoluer dans cette diversité avec maîtrise. " Hikaru Hayashi
Titre égaré
Un air charnel, d’une exquise douceur, qui flotte dans l’ambiance mystique d’un univers astral. Ce qui se déroule ici n’est pas une « chanson ». C’est une tapisserie fantasmagorique tissée à partir d’une voix naturelle. Par moments, cette voix se rapproche de façon surprenante du son d’un instrument. De la musique de Tamia naît une atmosphère pleine de grâce. Sa musique ne s’écoute pas avec la seule oreille. Elle s’assimile, plutôt, grâce à l’action corporelle la plus originelle de toutes : la respiration. Masanori Akashi
Silvestar Club, 1987
L’album "Tamia", chef-d’œuvre seulement écrit pour la voix, nous a véritablement prouvé que la voix humaine est « l’instrument » qui recèle les plus grandes possibilités. Le résultat est emprunt d’un calme véritablement naturel, mais aussi mystérieux. Masanori Akashi
SUISSE
Neue Zürcher Zeitung, 1981
"Une musique d'une exigence intérieure et d'une richesse de palette sonore comme il est rare d'en entendre."
Berner Zeitung, 1986
"L'émotion et la sensibilité de cette musique, dans laquelle les traditions musicales européennes et africaines ne subsistent qu'à l'état de traces, nous ramènent à une musique des origines."
Tagesanzeiger, 1988
"Tamia, magicienne des sons, ne se contente pas d’effets superficiels pour mettre en valeur la formidable amplitude de sa voix. Elle fait preuve d’imagination, de sensibilité ainsi que d’une méditative sérénité lorsqu’elle travaille avec son « vocabulaire sonore créatif », aux confins de l’onirique, de l’inconscient et même de l’archaïque. " Johannes Anders
Die Weltwoche, 1988
La voix de Tamia est instrument : sur quatre octaves, du bruissement tellurique aux sons purement aériens, en passant par des sonorités qui évoquent la nature sauvage. Voilà, songe-t-on, ce que nous diraient les choses si elles savaient parler. Ou plutôt si nos oreilles étaient encore capables de comprendre leur langage. Ces voix (le pluriel s'impose) forment bel et bien un incomparable instrumentarium." Peter Rüedi
Solothurner Zeitung, 1992
"La voix de Tamia et de ses huit chanteuses nous transporte loin de la salle de concert, vers un sanctuaire d'une civilisation ancienne au bord du Nil ou quelque part entre le Tigre et l'Euphrate. On se retrouve parmi les bergers, devant un paysage désertique." Gundi Klemm
La Tribune de Genève, 1994
"Autour de la voix fabuleuse de Tamia, huit autres vocalistes constituent ce Vocal Art Ensemble. Tout est a cappella. Et la magie sourd de la fusion entre musiques occidentales et du monde, une polyphonie hors du temps. La lumière vient encore rehausser d'un écrin magique cet univers sonore."
Tagesanzeiger, 1994
"Une austérité médiévale, une grande simplicité, mais aussi une réelle gaieté, ainsi que des associations avec des musiques ethniques de différents continents. Et surtout la spiritualité et l’aura magique des intervalles – tout cela concourt à ensorceler les auditeurs." Johannes Anders
Construire, 1994
"Ce que l'on entend ici ne ressemble à rien que l'on puisse d'instinct nommer. Le choeur a cappella de Tamia et de ses huit voix féminines engendre des paysages sonores enfouis au fond des âges, des cultures, de l'espace intérieur de chacun." Gérard Montani
USA
The Village Voice, 1979
"C’est la première fois depuis longtemps que j’ai été littéralement sonné par une musique expérimentale venue d'Europe. Ce n'est pas l'exaltation devant une pure découverte. C'est une exaltation plus grande encore à l’écoute d’une dizaine de pures découvertes pleinement intégrées, pleinement développées et techniquement parfaitement abouties." Tom Johnson
New York Times 1980
"Pendant son récital d'une heure, elle chante accompagnée d'un enregistrement de sa propre voix qui donne parfois l'impression qu'il a été généré, ou altéré, électroniquement. L'effet est magique : un choral océanique qui se déploie de grondements profonds à des bourdonnements d'insectes, à de doux gazouillements, et explose dans un indescriptible kaléidoscope d'effets vocaux. Voici un chant nouveau, accompli avec une musicalité infinie, une technique parfaitement maîtrisée et une imagination au service de la poésie." John Rockwell
The Village Voice,1980
"J'avais été tout à fait impressionné par l'album solo de Tamia. Le concert de la chanteuse auquel j'ai assisté à New York a été tout aussi impressionnant. Elle utilise un grand nombre de techniques vocales, toutes très musicales, et dont aucune ne pourrait vraiment être imitée par qui que ce soit d'autre." Tom Johnson
Ear Magazine, 1986
"Les mille et une voix de Tamia. Tamia est une chanteuse universelle et inspirée qui suit le chemin imprévisible de l’avant-garde." Carol E. Tuynman
GRÈCE
Eleftherotypìa, 1992
"La voix tendre de Tamia, la prêtresse française de l’art vocal, a trouvé le chemin de notre âme, s’appuyant sur l’environnement sonore fourni par les notes virtuoses mais expressives issues des percussions de Pierre Favre. La sérénité baignant cette promenade enchanteresse parmi les hymnes byzantins se changeait soudain, mais naturellement et sans violence, en rituel indonésien d’une extrême intensité. Légère comme le vent, la voix de Tamia, quand elle se déploie, peut tout emporter sur son passage."
Athinòrama, 1992
"La voix de Tamia semble surgir des profondeurs d’un monde perdu dans le passé, oublié à jamais hors des ruches de la mémoire, d’un monde qui ne peut prendre des dimensions mesurables. Comme dans un rêve."
Ta Nèa, 1992
"Voilà pourquoi je suis si impressionné par Tamia. Chaque fois que je l’entends, je suis le témoin d’une exploration dans des régions cachées du royaume de la musique vocale. C’est une aventure de tous les sens, car on ne va pas là-bas muni de seules oreilles. Si on se laisse aller à cet appel, alors on atteint un état alternatif, un autre niveau de conscience, entre vision et catalepsie. Còstas Yannoulòpoulos"
Eleftherotypia, 1993
"Tamia et son ensemble vocal nous lancent au-delà des dimensions temporelles. Par tant de transcendante virtuosité, elle mérite qu'on la désigne comme la grande dame de l'art vocal contemporain."
ALLEMAGNE
Mannheimer Morgen, 1987
"Pierre Favre et Tamia explorent dans leur voyage sonore les grands fonds de l'âme humaine." Georg Spindler
Kieler Nachrichten, 1988
"Les inventions des deux musiciens parlent immédiatement au sens musical de chacun. On écoute avec une admiration croissante." Rolf Gaska
Zitty Berlin, 1988
"Si l’adjectif « méditatif » s’impose pour des raisons évidentes, il est insuffisant pour décrire cette expérience musicale, car les sonorités s’opposent trop à toutes les habitudes acoustiques – et ce avec les moyens les plus simples : une voix accompagnée de rythmes." Annette Schlünz
Neue Zeitschrift für Musik, 1988
"Épurées, les lignes d'un chant modal se marient aux textures particulières des percussions qui révèlent une incroyable sensibilité aux timbres et à leurs contrastes." Peter Niklas Wilson
Die Union, 1991
"Flottante, pénétrante, ensorcelante, la voix de la chanteuse française Tamia semble venir d’un autre monde." Annette Schlünz
Fachblatt Musik Magazin, 1992
"Un talent d’improvisation et une affinité pour l’inhabituel, voilà qui constitue la base de la musique interprétée par les deux artistes, qui rompent par ailleurs avec toutes les habitudes de jeu et d’audition. Avec une diversité aussi unique que spectaculaire de la voix humaine et un arsenal de percussions non moins impressionnant, nos oreilles se retrouvent confrontées à des sons véritablement nouveaux et surprenants." Andreas Fürbach
Zounds, 1992
"Une musique à la fois archaïque et futuriste, où se réalise la fusion des contraires." Michael Engelbrecht
Freiburger Jazzhaus Journal, 1993
"Des pièces très construites se ramifient en phrases enflammées, puis redeviennent fleuves d’énergie coulant librement. La voix se fait pure et claire avant de se déchirer dans un son improbable." Reiner Kobe
Leipziger Jazztage, 1993
Tamia et Pierre Favre au Gewandhaus de Leipzig : "Une chanteuse du no man’s land qui sépare le jazz de la nouvelle musique. Avant-gardiste et archaïque." Bert Noglik
ITALIE
La Nazione, 1980
"La démarche artistique de Tamia explore les multiples potentialités de l’appareil vocal humain et cherche à relier la voix au geste, au corps dans son entier. Dans « Senza tempo », l'improvisation libre se déploie sur la base de parties composées, sur une scène délibérément pure et dépouillée, sans costume ni décor, servie par un éclairage discret."
Musica jazz, 1980
J'avoue que depuis bien longtemps aucun disque ne m'avait à ce point intéressé, enthousiasmé. Un coup de foudre; un nom encore inconnu de moi il y a peu, qui s'impose dorénavant parmi les plus aimés. Une musique indispensable. Goûtons cette authentique leçon de Chant, avec un grand C." S.A
Paese Sera, 1985
"Tamia a immergé le public dans un mysticisme onirique, fait de béatitude et de transcendance." Ernesto Bassignano
AUTRICHE
Arbeiter Zeitung, 1990
"Une beauté sans égale dans un déferlement de sons. C’est comme si cette immense artiste vocale unissait en elle les traditions musicales de toutes les cultures et les portait dans son âme pour les laisser ensuite déferler hors d’elle, toutes intimement liées." JoLi
FINLANDE
Helsingin Sanomat, 1990
"Un mélange fascinant d'inspiration et d'imagination, pour le plus grand plaisir de l'auditeur." Jukka Hauru
Aamulehti, 1995
"Le Tamia Vocal Art Ensemble incarne un véritable art du son et de la musique, qui laisse loin derrière lui les plus hautes formes de chant choral." Kirsti Vanninen
Helsingin Sanomat, 1995
"Cette musique n'est pas du tout difficile d'accès. Elle est tour à tour très lyrique, dansante ou ludique." Vesa Sirén
ISRAËL
Kol Hair, 1982
"Une voix exceptionnelle. Un mélange de composition et d'improvisation. Stupéfiante !" Vered Levi-Unger
DANEMARK
Titre égaré, 1985
"Un chant sublime. Tamia, la chanteuse aux mille et une voix." Inge Methling
Tromsos Musikguide, 1992
"Des atmosphères très intenses et variées, une expression puissante." Helge Matland
ROYAUME-UNI
Option, 1988
Il n'est pas facile de mettre une étiquette sur cette musique et ce serait probablement peu pertinent. Elle possède en effet une certaine retenue néo-classique, tout en étant éthérée et tout simplement somptueuse. La justesse de sa vocalisation, dans une langue apparemment imaginaire, évoque la musique de civilisations disparues, ou même de lointains ailleurs." Bill Tilland
Audion, 1988
"Il s’agit ici d’une musique inhabituelle, ou en d'autres termes, immense et tout à fait exceptionnelle par l'étendue de la gamme des atmosphères et des textures sonores. Son style - ou plutôt ses styles - lui sont propres."
SUÈDE
Västerbottens Folkblad, 1988
"Tamia, cette étrange artiste, possède une voix inclassable. Sa voix fait naître des sonorités, des couleurs qui vous donnent le sentiment d'assister à un rituel, dans un champ de force plein d'une énergie qui jaillit de ses cordes vocales." Bill Olson
Västerbottens Kuriren, 1988
"A la manière d'un peintre qui utiliserait la couleur sans intention d'y inscrire un sens, cette musique doit plutôt être perçue comme résonance, comme une forme de peinture sonore.
Ce que l'on ressent de l'art du chant si singulier de Tamia est qu'elle ouvre sa voix au-delà de son propre univers à quelque chose de plus universel, qui nous renvoie au-delà de l'histoire vers les origines, vers quelque chose qui nous rassemble." Leif Larsson Västerbottens
RADIO
A partir de 1972, participation à de nombreuses émissions, parmi lesquelles :
FRANCE INTER
Le Pop-Club de José ARTHUR à l’occasion de chacun de ses concerts ou sorties de disque.
Avec Jean-Louis FOULQUIER
FRANCE CULTURE
Daniel CAUX - Atelier de création radiophonique
Charlotte LATIGRAT - Travail musical : Cours de chants de Tamia
Jacques TARONI - Les nuits magnétiques, avec Nancy Huston
Jean-Loup GRATON – Par/avec/pour La Voix
Et aussi avec Maurice CULLAZ, Yanic GORNET, Eve GRILIQUEZ, Martine CADIEU, Jeanne-Martine VACHER, René FARABET
Participation à des fictions avec Claude ROLAND MANUEL, Évelyne FRÉMY
FRANCE MUSIQUE
Pierre LATTES, Joséphine MARKOVITS - Tamia avec Un Drame Musical Instantané
Jean-Michel DAMIAN - Nancy Huston et Tamia // Les Imaginaires
Et aussi avec Jacques DRILLON, Olivier BERNAGER, Michel LARIGAUDRIE, Franck MALLET, Claude HERMANN, Bruno LETORT
ET AUSSI
RADIO LIBERTAIRE, avec Gérard TERRONES
RADIO NOVA, avec Jean-Pierre GILLARD, Martin MEISSONNIER
ENREGISTREMENTS DE CONCERTS
Entre autres:
Jazz à Ris-Orangis, avec Michel PORTAL - 1976
Festival de La Roche-Jagu, avec Pierre FAVRE – 1976
Sens Music Meeting, avec Pierre CHARPY - 1978
Festival de Sens, avec Siegfried KESSLER - 1980
Uméo, en Suède, avec Pierre FAVRE – 1988
Los Angeles, sur KCRW, National Public Radio – 1988
Festival de Jazz de Paris avec Pierre FAVRE, à l’occasion des 20 ans d’ECM - 1989
Milan, à l’occasion des 20 ans d’ECM, avec Pierre FAVRE – 1989
En Allemagne, sur la NDR, émission de Michael ENGELBRECHT – 1992
Berne, avec le Tamia Vocal Art Ensemble – 1995
TV
La 2ème chaîne
André FRANCIS : Festival de Jazz de Châteauvallon, avec le Portal Unit - 1972
France 3 Centre
Concert avec Pierre FAVRE – 1984
La 1ère chaîne
Bernard GELY filme l’enregistrement du duo avec Pierre FAVRE pour ECM. Oslo, 1987
M6
Pierre BOUTEILLER : Duo avec Pierre FAVRE – 1988
Philippe MEYER : solo de Tamia VALMONT dans « L’Inhumaine » de Marcel LHERBIER, musique Jean-Christophe DESNOUX
France 3 Bretagne
Les Tombées de la nuit, avec Pierre FAVRE - 1989